Claude Brasseur
Mathématicien, chercheur en énergies renouvelables
Je ne suis qu’un scientifique chercheur de vérité.
Mathématicien, orienté vers la physique, je cherche la vérité bien évidemment dans les domaines qui me sont accessibles et qui, en même temps, concernent le monde dans lequel je vis.
Je vis dans un monde qui a peur !
Le monde a peur du « réchauffement climatique conséquence du CO2 produit par l’être humain ». Moi aussi, j’ai eu peur…
J’ai cru au film d’Al Gore, je n’ai pas – pas plus que Stephen Hawking – mis en doute les prédictions du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC).
Ces prédictions nous annonçaient des catastrophes d’abord pour l’immédiat.
Elles sont régulièrement remises à plus tard par le GIEC.
Le GIEC sort chaque jour ses considérations, ses observations, ses calculs, ses prévisions changeantes…
Il les sort à la presse qu’il finance, aux médias qui entretiennent la peur.
Je n’ai plus peur.
Je me suis renseigné, ai lu Maxwell et beaucoup d’autres, ai écrit des textes présentant la réalité scientifique, vérifiable, au public.
Le public – et c’est normal – ne comprend pas la physique, le public se laisse convaincre par l’autorité (1), par la répétition (2), par cette peur si naturelle aux êtres vivants, cette peur si profitable aux fabricants et aux installateurs d’éoliennes.
Non, je ne tenterai pas ici de simplifier les réalités scientifiques présentées, entre autres, par Thomas Allmendinger et Robert Ian Holmes, je me contenterai d’une réalité qui a échappé au public, qui ne lui a pas été présentée parce qu’elle ridiculise le GIEC et le lobby éolien, et qu’elle montre tout ce beau monde sous son vrai jour.
Le GIEC, organisme de l’ONU, est né des prédictions de James Hansen (agent de la NASA) présentées au Congrès des États-Unis en 1988.
Certaines de ces prédictions devaient se réaliser quasi immédiatement : le Midwest devait se dessécher, le nombre de jours chauds devait augmenter, les Grands Lacs allaient se vider, la glace de l’Arctique fondre…
Cent pour cent d’erreurs pour les prédictions vérifiables de James Hansen, relève Tony Heller (3). James Hansen est toujours encensé comme « sauveur de l’humanité ».
Il nous « sauve » d’une menace qui n’a jamais existé puisque le CO2 (gaz carbonique) ne joue pas de rôle dans le climat !
Malheureusement, je ne suis pas capable d’expliquer, en simplifiant suffisamment, ce non-rôle du CO2 dans le climat, mais j’observe qu’il y a de bons journalistes scientifiques qui y arrivent.
Ces personnes n’écrivent pas pour la presse officielle.
Et je suggère à tout politicien responsable de s’instruire au lieu de se laisser influencer par ceux qui n’ont que leur portefeuille en tête.
Je le suggère à tout citoyen qui pense à l’avenir de ses enfants.
(1) Lisez Expérience sur l’obéissance et La désobéissance à l’autorité, de Stanley Milgram.
(2) Lisez Propaganda, d’Edward Bernays.
(3) Software Expert Exposes 30 Years of « Totally Messed Up » Climate Forecasts, embarrassing NASA Scientists, by Pierre L. Gosselin on 29 June, 2018.
(4) Des filtres dépolluants sur certaines cheminées, par exemple, coûteraient bien le centième du prix des éoliennes, ne seraient pas accompagnés de cadeaux de l’État – cadeaux de nous tous.