La victoire de Donald Trump : Coup dur pour les progressistes de tous pays

C’est une victoire éclatante qu’a remportée, au soir du 5 novembre 2024, Donald Trump qui retourne donc à la Maison blanche. Il devient ainsi le 47e Président des États-Unis après en avoir été le 45e.

C’est une victoire éclatante qu’a remportée, au soir du 5 novembre 2024, Donald Trump qui retourne donc à la Maison blanche. Il devient ainsi le 47e Président des États-Unis après en avoir été le 45e.

Quoi qu’on puisse penser de l’homme, de certaines de ses sorties extravagantes, de ses positionnements sur certains sujets internationaux qui ne sont pas les nôtres, cette victoire peut nous réjouir, pour plusieurs raisons.

En tout premier, ne boudons pas ce plaisir, au regard du désespoir affiché sur les visages des progressistes et des journalistes au collier de tous pays.

Ils avaient prédit, la bouche en cœur et l’intelligence en berne, que l’inepte Kamala Harris remporterait, même de manière serrée, la bataille. Ils se sont trompés du tout au tout, se décrédibilisant quasi définitivement. Seuls les irrécupérables de la lucarne arc-en-ciel continueront à leur faire confiance. « Vous êtes les médias maintenant » twittait Elon Musk sur son réseau social X !

En second, le triomphe de Donald Trump est le signe du réveil du peuple de l’Amérique profonde, que les « élites » qui gouvernement le monde moquent, méprisent, snobent et dont elles dédaignent les préoccupations véritables, toutes occupées à faire avancer leur projet de Nouvel Ordre Mondial tyrannique, technocratique, transhumaniste.

 Les Américains en votant pour Donald Trump et son équipe, ont voté, avec bon sens, pour Make America Great Again contre le wokisme, le transgenrisme, le progressisme nihiliste, l’immigration invasion, le socialisme teinté de rouge marxiste, Big Pharma, le déclassement des États-Unis, les guerres … 

Ce réveil, dont on voit quelques soubresauts également en Europe, sonnera-t-il le début d’une renaissance du bon sens dans les Nations européennes, prélude aux vrais changements politiques nécessaires pour que l’Europe redevienne grande, c’est-à-dire qu’elle se réapproprie sa civilisation et son destin chrétiens ?

Cependant ne nous faisons pas deux illusions : d’une part, si l’élection de Donald Trump comme 47e Président des États-Unis, est un coup dur pour le « deep state » américain et mondialiste, ce dernier n’abandonnera pas la partie si facilement et telle une bête blessée il réagira violemment ; et d’autre part, Donald Trump n’est pas le sauveur de notre monde occidental en perdition, loin de là.

  C’est à nous Catholiques de tous pays que Dieu demande les efforts nécessaires, constructifs, pour redresser nos pays, ce qui ne pourra se faire que si l’on œuvre, chacun à sa place, ce qui veut dire sans déserter sa place, à la restauration du Règne social de Notre Seigneur Jésus-Christ. C’est un devoir impérieux !

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