Offenburg (All.) : Après le tabassage de leur père par un réfugié aux cris d’Allah Akbar, ses fils veulent faire condamner l’Etat allemand

A Offenburg, Detlef J. (75 ans et retraité) a été frappé par le réfugié somalien Ali M, âgé de 25 ans.

Un témoin a vu le réfugié piétiner la tête du retraité sans défense encore et encore, et crier « Allahu Akbar ». Detlef J. a été si gravement blessé qu’il restera une personne dépendante, dont il faut s’occuper 24 heures sur 24, pour toujours.

Aujourd’hui, ses fils veulent poursuivre la République fédérale en dommages-intérêts et en réparation du préjudice moral. Ralf J. (50 ans) déclare : « Ce malheur aurait pu être évité. L’auteur a été arrêté par la police la veille du crime, après avoir frappé un chauffeur de taxi. Mais il a été relâché. » Même durant la nuit du crime, le réfugié s’est fait remarquer à deux reprises par des agents de la police fédérale. Ralf J. demande : « Pourquoi personne ne l’a arrêté ? »

Le fils continue : « Nous poursuivons la République fédérale d’Allemagne en dommages et intérêts parce qu’elle est conjointement responsable de cet acte de violence en raison de sa politique migratoire non coordonnée. Nous voulons que notre père, dans son état épouvantable, puisse au moins mener une vie digne dans une maison de retraite. Mais nous n’avons pas les moyens pour lui rendre cela possible. »

Detlef J. est hébergé dans une clinique neurologique en Forêt-Noire. Il est en fauteuil roulant et ne se souvient plus de sa vie. Et l’agresseur ? Le réfugié Ali M. (25 ans) se trouve en détention provisoire à la prison d’Offenburg. Il a un avocat et reste silencieux sur les accusations.

(Traduction Fdesouche)

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