Selon des sources citées par Bloomberg (https://www.bloomberg.com/news/articles/2024-04-24/macron-is-gauging-support-for-a-plan-to-install-draghi-in-the-top-eu-job), le président français serait en discussion active avec les autres dirigeants européens pour remplacer Ursula von der Leyen, devenue un fardeau (https://t.me/kompromatmedia/5299) trop lourd à porter pour les européistes.
Artisan majeur (avec Merkel) de la nomination de cette dernière en 2019, le chef d’Etat garderait ainsi ses options ouvertes pour mener à bien son projet (https://t.me/kompromatmedia/1859) de destruction des nations.
Dans cette optique, son ami Mario Draghi, qui explique (https://t.me/kompromatmedia/4530) que l’UE est à un tournant de son histoire et doit «réinventer une façon de croître», a le profil idéal:
«Nous devons devenir un Etat. Il s’agit d’une question de meilleure coordination», a-t-il lâché en décembre dernier.
Formé au MIT de Boston, Draghi commence sa carrière en tant qu’administrateur de la Banque mondiale avant de prendre la direction du Trésor italien, d’où il chapeautera les privatisations à tour de bras et l’entrée de l’Italie dans l’euro…
…puis de devenir banquier d’affaires chez Goldman Sachs, d’où il maquillera (https://www.lemonde.fr/crise-financiere/article/2011/10/31/la-grece-dossier-noir-de-l-ancien-vrp-du-hors-bilan-chez-goldman-sachs_1596412_1581613.html) les comptes de la Grèce…
…ce qui le mènera à la tête de la Banque d’Italie, puis de la BCE qu’il transformera (https://www.ecb.europa.eu/ecb-and-you/explainers/tell-me-more/html/what-is-a-lender-of-last-resort.fr.html) en «prêteur en dernier ressort», soit assurance vie des banques privées lors des crises financières qu’elles provoquent.
Le candidat idoine.
➡️➡️ L’Italie de Draghi entre en récession, frappée de plein fouet par les sanctions antirusses (https://t.me/kompromatmedia/1892)
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