Eclat de rire : Voir les journalistes anti-Trump répéter comme des perroquets les mêmes bobards avec les mêmes mots

Les journalistes sont tellement désespérés des formidables résultats économiques et de politique étrangère du président Trump, qu’ils font tout pour tenter de l’abattre – tout en constatant que rien n’y fait…

La dernière trouvaille, un article non signé publié hier dans le New York Times par une personne qui prétend faire partie des hauts-fonctionnaires de la Maison-Blanche, et appelle à faire destituer le président parce qu’il n’aime pas que ce dernier tienne ses promesses de campagne – l’une après l’autre.

Les médias se sont jetés sur l’article, ils en parlent non-stop depuis 24 heures, répétant les mêmes mots, les mêmes phrases comme des petits perroquets :

Cet excellent montage du Daily Caller explique mieux qu’un discours pourquoi les Américains n’ont plus confiance dans les médias – à part Fox News qui reste de très loin en tête des médias les plus neutres et les plus crédibles – et c’est un média conservateur.

L’angle d’attaque des journalistes est simplet : ils s’activent à multiplier les Fake News et diffuser des fausses rumeurs afin de faire croire au public – qui commence à être sacrément immunisé et blasé et ne tombe pas dans le panneau – qu’il n’y a pas de fumée sans feu et qu’il y a forcément du vrai parmi toutes ces accusations.

Evidemment, l’article du NYT est une suite de commérages et de ragots sur le « chaos qui règne dans l’équipe de Trump » et d’accusations sur la santé mentale du président.

Un papier qui tombe à pic pour enterrer les bons résultats de Trump

Pour les journalistes, le papier du NYT est une aubaine. Il leur permet de ne pas mentionner les excellents chiffres de l’emploi pour le mois d’août qui viennent de tomber, et avec 201 000 embauches, sont meilleurs que prévu – une fois de plus.

Des médias français, qui ne publient jamais les bons résultats économiques de Trump, ont rapporté par exemple que le nombre d’Américains sans abri atteint un chiffre très élevé. Ils omettent juste de préciser que cela se passe dans des grandes villes ancrées Démocrates où la politique de Trump est contrée par des décisions socialistes, comme le salaire minimum horaire à 15 dollars qui décourage les entreprises d’embaucher, ou la distribution gratuite, comme à San Francisco, de 400 000 seringues par mois aux drogués, que les habitants retrouvent le lendemain sur le trottoir, faisant fuir les entreprises et les commerces.

James Freeman, un journaliste du Wall Street Journal que personne n’accusera de ne pas comprendre l’économie, vient cependant de remettre les pendules à l’heure et déclarer :

« Le bilan est tout à fait remarquable. Le Président a fidèlement suivi l’ordre du jour sur lequel il a fait campagne en 2016. Les gens devraient se concentrer sur les résultats, et ils sont extraordinaires ! » 

Trump gagne son bras de fer économique contre la Chine

Alors que la Chine a dévalué sa monnaie en réaction à un récent ralentissement de sa croissance économique, et que l’économie américaine bat son plein (la FED prévoit 4,7% de croissance), Trump va intensifier la guerre commerciale pour rééquilibrer les échanges commerciaux, avec 200 milliards de dollars de plus de tarifs douaniers.

Cette augmentation des tarifs constitue la mesure la plus importante à ce jour dans la guerre commerciale qui dure depuis des mois, et elle compromet les perspectives de croissance de la Chine, en contradiction totale avec les prédictions des experts. Les données publiées fin août n’ont pas calmé certaines inquiétudes sur les perspectives à court terme de la Chine.

Pour sauver la face, Gai Xinzhe, analyste à l’Institut des finances internationales de la Banque de Chine à Beijing a déclaré :

« La Chine est mentalement mieux préparée, cette fois-ci, qu’elle ne l’était lors de la précédente série de négociations tarifaires. L’échelle [des nouveaux tarifs douaniers imposés par Trump] est énorme et une fois que les tarifs se matérialiseront, ils déclencheront certainement des sueurs sur les marchés financiers. »

Avant de lancer ses guerres économiques, M. Trump a soutenu l’économie nationale par les déréglementations et les réductions d’impôt. Il a pensé que cette force permettra aux États-Unis de gagner ses guerres sans trop souffrir en interne, voire pas du tout.

Jusqu’à présent, le marché boursier américain semble se ranger du côté de l’approche de Trump. »

Mais cela, vous ne le lirez pas dans la presse francophone, où il n’est question que du dernier livre d’insultes contre le président Trump.

A ce propos, je pose cette honnête question à mes confrères journalistes qui n’ont que mépris et dégoût pour le président américain : au nom de quelle règle déontologique, au nom de quel respect de la neutralité de notre métier, ne parlez-vous que des trois ou quatre livres anti-Trump, et jamais des dizaines de livres pro-Trump qui sont publiés ?

Ma question est réthorique bien sûr, car je connais la réponse, et elle s’appelle : malhonnêteté.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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