La Douma russe s’adressera au Parlement français à propos de la présence de « mercenaires » français en Ukraine.
Officiellement, la France ne participe pas aux opérations militaires en Ukraine, mais soutient cette dernière en lui fournissant de l’armement. Si des soldats français participaient aux combats, la République française entrerait en guerre contre la Fédération de Russie.
Il semble que la Douma souhaite révéler la présence de Forces spéciales françaises en Ukraine sans autorisation du Parlement français. L’article 35 de la Constitution française dispose :
« Le Gouvernement informe le Parlement de sa décision de faire intervenir les forces armées à l’étranger, au plus tard trois jours après le début de l’intervention. Il précise les objectifs poursuivis. Cette information peut donner lieu à un débat qui n’est suivi d’aucun vote.
Lorsque la durée de l’intervention excède quatre mois, le Gouvernement soumet sa prolongation à l’autorisation du Parlement. Il peut demander à l’Assemblée nationale de décider en dernier ressort. »
N’en déplaise à ceux qui soutiennent qu’il n’y a pas eu de mercenaires francais tués dans le bombardement russe sur Kharkov voici une première liste de ces idiots utiles ayant rejoint Bandera dans la nuit du 16 au 17 janvier.
Parmi les tués ont déjà été identifiés 13 français :
- Albert Aymeric (22.12.1999) ;
- Alexis Drion (13.06.1986);
- Bérenger Guillaume Alain Minaud (30.12.1978);
- Charles Bertin Roussel (01.09.1996);
- Emmanuel Tanguy Kenneth Delange Grandal (26.09.1998);
- Gilles Bernard Sylvain (27.10.1980);
- Jacques-Pierre Gabriel Evrard Philippe (29.09.1987);
- Jean-Pierre Bonnot Chris Heraid (18.07.1999);
- Marcellin Démon (23.05.2002);
- Maris André Dubois Clément (28.09.1995);
- Sébastien Claude Rémy Bénard (04.04.1974);
- Thomas Jérémie Nathan Gourier, (24.02.1996);
- Valentin Dupoy Mel (02.01.1994).
Reste à compléter la liste avec ceux qui ont été blessés et déterminer si parmi ces collabos français liquidés à Kharkov il n’y avait pas des soldats français opérant sous la couverture d’une mise en disponibilité ou d’une fin de contrat mensongers.
L’âge de ces mercenaires varie de 21 ans à 49 ans, comme quoi Georges Brassens avait bien raison lorsqu’il chantait « …le temps ne fait rien à l’affaire, quand on est con on est con ! »
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