La paix sociale actuelle masque l’insurrection générale de demain

L’Histoire enseigne que les révolutions se produisent dès lors que les peuples ne supportent plus d’être floués par leurs dirigeants, qu’il s’agisse de la faiblesse générale du niveau de vie, d’une absence radicale de perspectives ou d’une dénaturation des valeurs nationales.

Aujourd’hui, dans notre pays, une sourde colère monte des campagnes comme des villes car les Français en ont assez de voir qu’une France non-française, vivant au cœur même la France, se développe à leurs dépens.

Les obsèques de Johnny Hallyday ont montré à quel point cette France non-française ignore la France et combien la France véritable sait être en communion avec elle-même.

Mais qu’on ne s’y trompe point : cette ferveur pacifique venue d’un million de personnes unies dans le chagrin et le recueillement peut soudainement se transformer en fureur meurtrière. « Il suffira d’une étincelle, d’un mot, d’un geste » pour « allumer le feu » que les Français portent en eux, même si les apparences laissent croire le contraire.

La sagesse commune dit qu’ « il faut se méfier de l’eau qui dort » : elle a raison, surtout si cette eau irrigue la France profonde.

Que les choses s’aggravent, et la déferlante patriotique s’abattra sur le pays tout entier. Nos gouvernants seront alors emportés pour s’être obstinés à ne rien voir de la fracture sociale à laquelle ils ont contribué via la hausse des prix, des charges sociales et des impôts, sans parler d’une immigration musulmane en constante augmentation.

Comme le disait Simone de Beauvoir : « Le principal fléau de l’humanité n’est pas l’ignorance – car l’ignorant a souvent des excuses – mais le refus de savoir ».

source

Partager cet article