L’espionnage du candidat Trump par l’Administration Obama, ça sent de plus en plus mauvais

De nouveaux documents publiés récemment prouvent que le département de la Justice d’Obama et le FBI, dirigé par James Comey et ultra-politisé par les Démocrates, se sont presque entièrement appuyés sur le faux dossier Steele pour espionner Trump.

Judicial Watch et son dirigeant Tom Fitton ont finalement réussi à obtenir les documents de la cour secrète FISA concernant la mise sur écoute de  Carter Page.

  • Même extrêmement caviardés, ils confirment que le département de la « Justice » et le FBI d’Obama ont induit les tribunaux en erreur en leur cachant qui avait financé ce dossier, et que le FBI lui-même ne l’a jamais validé, et pour convaincre les juges, ils ont soutenu que Carter Page était un agent russe, ce qu’ils savaient être faux.

Et la meilleure preuve est que l’administration Obama, ni le FBI, n’ont jamais cherché à traîner Carter Page devant les tribunaux. S’il était un agent russe, il serait déjà en prison.

Le dossier Steele a été qualifié de « salace et non vérifié » selon Comey lui-même lors de son audition devant le Congrès, et pourtant, Comey et sa clique s’en s’ont servi pour obtenir des mandats d’écoutes contre Carter Page, alors qu’il faisait partie de la campagne Trump, et ce dans le but de faire gagner la présidentielle à Hillary Clinton.

  • De plus, le faux dossier, payé par Clinton et les Démocrates, a, contrairement aux déclarations sous serment devant le Sénat des principaux suspects de ce scandale, presque exclusivement servi de justificatif pour la demande d’espionnage. James Comey a spécifiquement affirmé le contraire devant une commission d’enquête de la chambre des Représentants.
  • Enfin, c’est parce que l’administration Obama s’est servie de ce faux dossier pour faire espionner Trump que le FBI n’a jamais cherché à le vérifier : il savait qu’il ne contenant rien de sérieux, et qu’il s’agissait d’une manœuvre strictement politique. C’est en partie ce que le numéro 2 du département de la Justice, Rod Rosenstein, fait tout pour couvrir ses collaborateurs en refusant de livrer les documents que les enquêteurs du Congrès lui réclament.

L’avocat et commentateur politique à Fox News Gregg Jarrett, citant Andrew McCarthy, rédacteur en chef adjoint à la National review et ancien procureur des États-Unis, demande que les juges qui ont signé les mandats de mise sur écoute fassent l’objet d’une enquête.

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